Le satellite OCO-2 de la NASA mesure les émissions de CO2 sur l’ensemble de la planète. Des chercheurs ont trouvé le moyen de lui faire mesurer les émissions d’une usine en particulier. Lancé en 2014, la mission de ce satellite de la NASA est de mesurer les émissions de dioxyde de carbone (C02) tout autour du globe. Grâce à des

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Le microbiote des larves de moustiques joue un rôle dans la capacité des insectes adultes à transmettre des pathogènes humains Des chercheurs de l’Institut Pasteur et du CNRS, en collaboration avec des équipes de l’IRD, de l’Université Claude Bernard Lyon 11 et du CIRMF au Gabon, viennent de démontrer que l’exposition à différentes bactéries au cours du développement des larves

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Les plus belles images de l’éclipse de soleil 2017

Retrouvez les plus belles images de l’éclipse 2017, saisies par des astronomes amateurs comme professionnels via Sciences et Avenir. Accès ICI

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Homo sapiens serait 100 000 ans plus vieux !

C’est une découverte qui bouleverse nos certitudes sur l’origine et l’évolution humaine. L’Homo sapiens remonterait finalement à plus de 300 000 ans, selon une étude publiée dans la revue scientifique Nature, jeudi 8 juin. Entre 2004 et 2016, une équipe internationale de chercheurs a trouvé et analysé plus de 16 nouveaux restes fossiles d’Homo sapiens sur le site archéologique de

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Une nouvelle étude sur ces humains minuscules découverts sur l’île de Florès, en Indonésie, et qui y ont vécu jusqu’à il y a environ 50.000 ans, apporte un nouvel éclairage. Selon ses auteurs, Homo floresiensis n’est pas un cousin d’Homo erectus, et encore moins un Homo sapiens malade. Le petit Homme est beaucoup plus ancien que cela. Les Hommes de

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La bioluminescence est partout dans l’océan

Dans l’océan, à partir d’une certaine profondeur, l’obscurité totale règne. On y rencontre pourtant de nombreuses espèces qui émettent de la lumière. Dans quelle mesure cette bioluminescence est-elle répandue ? Dans les environnements côtiers, elle concerne moins de 2,5 % des espèces, mais en haute mer, elle serait prépondérante. C’est ce qu’il ressort d’un relevé précis effectué par Séverine Martini

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Des chercheurs du CNRS ont découvert que les mandrills évitaient de rentrer en contact avec leurs congénères infectés par des amibes gastro-intestinales grâce à leur odorat, afin d’échapper à toute contamination. Ces travaux, publiés dans la revue Science Advances du 7 avril 2017, montrent que les parasites influencent les comportements sociaux des primates qui développent une stratégie d’évitement parasitaire grâce

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