La recherche génétique prouve que le ver de terre a évolué vers une complexité réduite, comparativement à celle de ses ancêtres. Selon une étude publiée aujourd’hui dans Nature par une équipe de chercheurs dirigée par le professeur Hervé Philippe, du Département de biochimie de l’Université de Montréal, l’évolution n’est pas une marche constante vers des êtres de plus en plus

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