La découverte, pour la première fois, d’un transfert génétique entre un hôte humain et une bactérie pathogène offre une vue nouvelle de l’évolution de certains agents infectieux. Des biologistes de l’Université Northwestern, à Chicago, ont découvert la trace de fragment d’ADN humain dans un génome bactérien, celui de Neisseria gonorrhoeae, le germe responsable de la gonorrhée, maladie sexuellement transmissible qui

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