La longue période de survie après la ménopause chez les êtres humains a été longtemps considérée comme un paradoxe évolutif. Comment justifier cette longévité prolongée qui semble inutile du point de vue de l’évolution car les individus survivant ne se reproduisent plus ? Plusieurs théories ont été avancées, basées sur l’idée que les grand-mères peuvent contribuer indirectement à la propagation

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